Pointée de doigt par la société civile du haut Katanga d'être désormais au service des intérêts politiques et non de la population, l'association congolaise pour l'accès à la justice, ACAJ réagit en prônant les notions sur la démocratie.
Dans une interview qu'il nous a accordée, son président Georges Kapiamba dit être imputé une accusation qu'il qualifie d'une expression de la démocratie mais toutefois il renvoie la responsabilité à l'opinion pour tout jugement face à au comportement de ce groupe des personnes.
"Ces membres s'étaient engagé dans le même combat avec moi sans qu'on se soit concerter et aujourd'hui nous constatons qu'ils font la marche en arrière, ils doivent avoir des raisons réelles pour lesquelles ils prennent cette nouvelle trajectoire officiellement ils veulent m'imputer cela. Bon, voilà il revient à l'opinion de se faire vraie idée, un vrai jugement par rapport leur comportement ", s'est expliqué Georges Kapiamba.
Pour sa part, la désolidarisation évoquée par la société civile du haut Katanga ne le dérange en rien et ne présentera aucun incident sur l'élan de l'ACAJ.
"Nous sommes dans une société démocratique où il faut accepter les opinions des autres donc je ne peux les empêcher à faire leur route ", a - t - il rajouté.
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