Lecture Arrêter

Il n'existe pas, dans le réel, des âmes neutres, même pas celle de Dieu ; celui-là même que les âmes inférieurs louent et glorifient ! En témoigne, à bien des égards, le florilège des récits allégoriques de la Bible.Ils veulent une CENI à tendance dominatrice par la société civile. Semble-t-il, parce qu'elle est neutre, la prétendue société civile. Ça donne à rire, franchement ; quand on sait qu'en république démocratique du Congo, par exemple, il n'existe pas de possible société civile qui soit neutre. Celles-là qu'on appelle, abusivement, société civile sont, en réalité, des alliés stratégiques de positionnement et des ambitions des politiques, selon des obédiences.

Une société civile neutre, c'est du vent que l'on tente, désespérément, vendre. Pour quels consommateurs cibles ? Certainement, pour leurs directeurs de conscience ; ceux-là qui dictent leurs actions. Et non jamais pour le peuple congolais. Parce que ce dernier sait, pertinemment bien, que telle société civile est alliée stratégique de telle obédience politique.

Par ailleurs, que reproche-t-on, finalement, à l'honorable président Mboso Nkodia ? Vraisemblablement, si l'on était juste et correct en vers soi-même, ce grand homme d'État aurait plutôt reçu, de ces compatriotes prestidigitateurs, des hommages mérités pour avoir mener et diriger avec maestria les travaux et actions parlementaires, en l'occurrence le vote de la loi électorale en actualité, de sa chambre législative.

Cet grand homme d'État a fait sa part de l'histoire. Il a rendu possible l'effectivité de la loi électorale. C'est-à-dire qu'il a permit à ce que la république puisse avoir une loi électorale à la hauteur des attentes légitime du peuple congolais, pour un processus électoral démocratique, transparente et apaisée. Et pourtant d'aucun l'accusait, malencontreusement, d'être la pièce stratégique d'un chimérique glissement traversant l'esprit des affabulateurs politiques ; en ne voulant pas, à dessein, l'examen de cette loi, à l'hémicycle.

Et aujourd'hui, la réalité est toute autre. Tout le monde est confronté à la vérité. Et la majorité du peuple congolais s'est rendu bien compte que l'honorable président Mboso Nkodia Mpwanga est l'homme qu'il faut à la place qu'il faut. Elle s'assure et se rassure, cette majorité des congolais, de la suite des événements, avec ce grand homme d'État à la tête de la chambre basse du parlement, la chambre de représentation et de la défense des intérêt du peuple congolais.

Alors que vous perdiez, inutilement, votre temps sur des questions du sexe des anges (l'illégitimité des institutions, soit disant), vous ne pouvez, aujourd'hui, que s'en prendre à vous-même, c'est-à-dire fustiger votre propre turpitude. C'est insensé, à ce jour, de vouloir rejeter la responsabilité de votre manque d'intelligence stratégique à ceux-là qui, eux, pendant vos instants de distraction, travaillaient pour la république. La politique, c'est l'intelligence stratégique. Si vous en êtes dépourvu, prière de changer le sacerdoce. L'église en est bien une !

La loi électorale, telle que votée à l'Assemblée nationale, est une loi de l'équilibre représentative des composantes. Les animateurs de la CENI, qu'ils soient de la composante société civile ou politique, ils sont, automatiquement, des acteurs politiques à part entière, parce qu'ils dirigent une structure technique électorale hautement politique ; et organisent, pour le compte de la république, un enjeu majeur de la politique, à savoir : les élections.

En lieu et place d'attendre, désespérément, la neutralité de la CENI par l'avènement des acteurs dites de la société civile comme composante majoritaire. Puisque nulle société civile n'est neutre, comme les illusionnistes se trompent à souhait. Je propose, pour l'horizon 2028, que l'exclusivité de l'organisation des élections revienne à la tradition classique de l'État. C'est-à-dire que la responsabilité de l'organisation des élections revienne, exclusivement, au ministère de l'intérieur.Soyons logique en vers nous-mêmes. C'est le minimum de l'élégance.

Nous avions voulu la loi électorale réformée. Et bien, l'honorable président Mboso Nkodia nous a donné, en temps voulu, cette loi électorale. Félicitations, donc, à lui, pour l'efficience et l'efficacité !

Lu par: 1650 Personnes

140    134

---