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Des policiers et militaires patrouilleurs sont pointés du doigt par l'organisation Réseau des droits de l'homme pour le développement et Paix, Redhodep ONG DH en sigle dans plusieurs cas d'extorsions des biens des citoyens, des vols et des tracasseries pendant les heures tardives. Ceci ressort d'un constat de cette organisation.

Selon cette organisation, ces militaires et policiers ravissent des téléphones, de l'argent et tabassent les paisibles citoyens dans plusieurs coins de la ville et plus particulièrement dans le quartier ndosho, Katoyi, kasika et kyeshero :

" Il est inadmissible. C'est maintenant la personne qui devrait sécurisée la population et qui malheureusement devient l'auteur de l'insécurité. Rencontré un élément policier ou militaire à ndosho, nyabushongo, Katoyi, kasika et kyeshero dans un lieu isolé aux heures tardives c'est comme être en enfer. Les gens sont continuellement dépouillés de tous ce qu'ils ont. À partir de 19h00 c'est du calvaire. On ne peut pas accepter et toléré ça. Nous appelons l'autorité à bien vouloir s'y impliquer dans l'urgence". S'indigne Monsieur Theoneste Bahati Gakuru de l'organisation Redhodep ONG DH.

Et d'ajouter :

" la population doit rester sereine. Sortir et dénoncer de tels cas auprès de l'hierachie".

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